Consultant fonctionnel, AMOA, chef de projet MOA, Product Owner, analyste d’affaires, consultant sectoriel ou métier, responsable qualification-recette, responsable des processus et procédures, chef de produit SI …
Dans la famille « Business Analyse », les étiquettes sont nombreuses, et les professionnels qui la pratiquent, parfois sans le savoir, n’ont pas forcément le titre officiel de « BA » sur leur fiche de poste.
C’est en 2005, dans le BABOK® de l’IIBA ®, que la business analyse est pour la première fois clairement définie. Mais s’il y a autant d’expressions pour la désigner c’est peut-être aussi parce que sa palette d’interventions est particulièrement large.
La business analyse est par essence protéiforme car elle est fonction de l’organisation, de sa taille, de son secteur d’activité, du projet et des besoins finaux. L’apparente opacité de la discipline (ou plutôt des disciplines) est génératrice de formations souvent superficielles et parcellaires.
Vous démarquer passe notamment par l’incorporation d’un socle solide, par l’acquisition de compétences et de bonnes pratiques fondamentales en Business Analyse, applicables à tous les environnements professionnels.
Car avant de se spécialiser, inutile de dire qu’il vaut mieux maitriser les bases.